Cao Bei-An est né à Shangaï en 1957. Diplômé de l'Académie des Beaux-Arts de Shangaï en 1984, il est nommé professeur d'art au département d'architecture de l'Université de Tongji, de l'Université Normale de Chine Orientale, à l'Institut des Arts et de l'Artisanat de Shangaï, ainsi qu'au collège où il a fait ses études. Il est ensuite nommé maître de conférences au département artistique du Collège d'Industrie Légère de Shangaï, et membre de l'Association des Artistes Chinois, section de Shangaï....Il est aujourd'hui membre de l'Association Royale des Artistes de Belgique, de l'Association Européenne Internationale d'Aquarelle et du Salon de l'Aquarelle de Belgique. Il enseigne son art à l'Ecole d'Aquarelle de Namur et est collaborateur spécial au magazine « Aquarelle chinoise ».
Les oeuvres de Cao Bei-An ont été reproduites dans de nombreuses collections professionnelles de peinture et dans d'autres publications. Elles ont été exposées en Chine, bien sûr, mais également aux USA, au Japon, en Corée du Sud, à Hong-Kong, en Allemagne, France, Italie...et en Belgique.
Depuis 1986, son nom est cité dans le « Who's Who - artistes chinois modernes ». En avril 1995, une émission de TV Brussel a été consacrée à l'oeuvre de Cao Bei-An, et en janvier 2000, une émission de la RTBF lui fut également consacrée.
En 1999, il participe pour la troisième fois au Salon de l'Aquarelle de Belgique à Namur, et y remporte, outre le premier prix, celui des artistes et celui du public. En 2000, sa participation au Salon Européen d'Aquarelle en Arles se voit auréolée par le Prix de Prestige... «  Plénitude et raffinement, calme et tension...Eblouissement de la lumière, choix impeccable des couleurs, telles sont les impression premières que l'on ressent devant l'oeuvre du peintre chinois Cao Bei-An . Les tableaux donnent une impression de tranquillité, de sérénité, que rien ne vient troubler, de pérennité aussi comme si le temps était suspendu. Ici tout invite à la contemplation, presque à la méditation. Une exposition qui se déguste lentement, presque religieusement comme un hommage à une nature qu'on voudrait croire inviolée » ( José Mespouille ) « ...on pourra découvrir le haut niveau de son art, l'étrange perfection d'une écriture scrupuleuse et le rayonnement discret mais efficace d'une sensibilité propre aux artistes de l'Orient extrême » ( Stéphane Rey ).

Expositions à la Pommerage en octobre 2000 et novembre 2003.